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Depuis que je suis tombée dans le zéro déchet, il y a plus de 5 ans, j’ai pu constater un certain nombre de bienfaits sur mon quotidien. Dans cet article de blog, j’ai décidé de te parler des 4 points qui m’ont convaincue de sauter le pas, au-delà de la réduction des déchets.
Depuis que je me suis mise au zéro déchet, j’ai simplifié mon quotidien. Ce n’était pas le cas au début de ma transition zéro déchet puisque j’étais dans une phase d’apprentissage et de découverte, mais la simplicité s’est installée au fil des mois.
En mettant en application la théorie des 5R, j’ai progressivement fait la part des choses entre besoin et envie et j’ai donc diminué considérablement mes achats compulsifs.
En parallèle de mon cheminement zéro déchet, je me suis intéressée au minimalisme et cela m’a permis de considérablement diminuer mes possessions : moins de désordre, fini les placards qui débordent, le dressing trop plein de vêtements qui ne seront jamais mis et bonjour l’apaisement mental de ne plus voir constamment du désordre.
En me mettant au zéro déchet, j’ai non seulement mené la vie dure aux déchets, mais aussi aux substances nocives, aux pesticides et autres joyeusetés. En faisant mes produits ménagers maison et en achetant des produits bio, locaux et de saison, j’ai drastiquement diminué les polluants de mon environnement et cela se ressent au niveau de ma qualité de vie et de ma santé.
Ce point découle directement du précédent. Je ne suis plus incommodée par les vapeurs des produits de nettoyage, par les parfums d’intérieurs chimiques. Je consomme des aliments peu transformés et plein de vitamines, car de première fraîcheur. Grâce aux changements de produits cosmétiques et d’hygiène dans ma salle de bain, je n’ai plus de problème de peau. Bref, ma santé se porte beaucoup mieux qu’avant.
S’il ne fallait citer qu’un seul élément pour convaincre quelqu’un de se mettre au zéro déchet, c’est les finances. Contrairement à ce que l’on peut penser, le zéro déchet ne coûte pas cher. C’est un cliché véhiculé par les fausses représentations du zéro déchet, avec des alignements parfaits de bocaux neufs dans la cuisine.
Cependant, il est vrai que passer à des alternatives réutilisables peut s’avérer coûteux à l’achat au début, mais il ne faut pas perdre de vue que ce sera vite rentabilisé par le nombre d’utilisations.
Mes plus anciens articles réutilisables ont plus de 5 ans et sont encore en parfait état. Je n’ai plus acheté de papier sulfurisé, d’aluminium, de cellophane, de coton démaquillant et tutti quanti depuis 2018.
En faisant mes courses de façon écoresponsable, j’ai diminué mon budget mensuel pour les courses de plus de 20% (30% avant la crise du covid). Imagine donc tous les autres postes de dépenses : j’ai tout diminuer et je fais donc des économies sur le long terme.
En bref, se mettre au zéro déchet, c’est bien plus que simplement éliminer les déchets. C’est un véritable art de vivre qui se cultive au quotidien et qui ouvre les portes d’un monde plus respectueux de soi et de la planète.
Si ces lignes t’ont donné envie de te pencher sur la question, tu peux réserver ton appel découverte gratuit, pour savoir ce que je pourrais faire pour toi. Tu peux également t’inscrire à un atelier ou réserver ton consulting zéro déchet, pour découvrir le zéro déchet avec un suivi d’un mois ou apprendre à faire tes courses en vrac comme un-e pro. Je peux également me déplacer chez toi pour un accompagnement zéro déchet personnalisé.
Si tu es plus du genre à vouloir apprendre par toi-même, ma formation ECO2 à suivre en autonomie est faite pour toi.
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